Technesthésie

Publié le par Cécile jancart


Petite histoire de la Technesthésie

La Technesthésie est née en 1967, à Montpellier, du travail, au sein du Groupe d'Etudes Théâtrales d'abord et du Centre Expérimental de Recherches de Psychologie Collective ensuite, de ses initiateurs Régine LACROIX-NEUBERTH et Guy MONNIER.
Dès 1946, le Groupe d'Etudes Théâtrales avait pressenti que, outre les connexions évidentes avec les grands mythes, la Tradition orale, le langage symbolique, les techniques de l'acteur sont porteuses d'une connaissance profonde des lois qui commandent la relation humaine et qui sont mises en évidence par l'art dramatique. Force leur a été de constater que l'exercice même des mécanismes de la parole permet une compréhension sensorielle et motrice des lois de l'action et de la relation.
La pédagogie de la technesthésie s'est ainsi mise en place en s'appuyant sur ces constitutionnels.
1973 : naissance de l'Association Française de Technesthésie (AFT) que Guy MONNIER présidera pendant 19 ans.

1975 : apparition de l'Institut de Technesthésie de Castelnau-le-Lez.

1993 : Guy MONNIER, après avoir démissionné de ses fonctions à l'A.F.T. fin 92, est devenu tout naturellement le chef de file d'une nouvelle équipe qui deviendra l'AECFT.

Le 20 Mars 1994, l'Association Européenne de Chercheurs et des Formateurs en Technesthésie (AECFT) est née, sous l'impulsion de ses membres fondateurs Juliette CONTANDRIOPOULOS, Henri LOUSTAU, Guy MONNIER, Jacques PIETRI et Jacques VIGIER LATOUR, tous les cinq liés historiquement à la technesthésie depuis plus de vingt ans. Elle s'est donné pour but, entre autre, la formation de chercheurs et de formateurs en technesthésie.
L'esprit insufflé par Guy MONNIER, décédé le 21 Novembre 1994, est contenu dans le code de déontologie du Règlement intérieur ainsi que dans les chartes : responsabilité de tous les membres, rigueur et ouverture.

Publié dans Technesthesie

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article